Plongé dans l’univers numérique, l’atrium s’ouvre sur deux étages avec des murs et sols constitués de pixels blancs d’un mètre sur un mètre. Ces pixels géants offrent des reliefs où viennent se loger la végétation, l’éclairage et la climatisation ainsi que des vues et des portes dérobées. Trois îlots, autour des arbres vivants offrent des assises au personnel pour des moments de pause et de rencontres.
Comme en mouvement, en perpétuelle évolution, les pixels s’échappent et se répandent vers l’extérieur, par l’entrée, autour du bâtiment. L’émergence de cette trame numérique low-tech dans le monde réel, matérialise la présence de la versatilité de l’univers numérique des données (Big Data). Elle rappelle cet univers qui sous-tend notre monde quotidiennement de manière silencieuse.